- 11 rue de la tour de beurre, 76000 Rouen
- 07 86 90 24 37
- martin.debreux7@hotmail.com
Les cervicalgies, ou douleurs cervicales, touchent 30 à 50% de la population française. Bien qu’elles soient souvent sans gravité et puissent guérir sans traitement, elles peuvent être vives et, dans certains cas, vous handicaper sérieusement.
Parmi les facteurs de risque, on peut citer :
Travail répétitif : Les mouvements répétitifs peuvent entraîner des tensions.
Flexion prolongée : Passer de longues heures en position fléchie peut générer des douleurs.
Stress : Un effort psychologique élevé peut se traduire par des tensions au niveau du cou.
Tabagisme : Contribue à la dégradation des tissus et à la circulation sanguine.
Blessures antérieures : Des antécédents de blessures au niveau du cou ou de l’épaule peuvent favoriser l’apparition de douleurs.
Il existe un lien physiologique entre les cervicales, la mâchoire et le diaphragme. Les contraintes dues au stress sur ces régions peuvent tirer sur les cervicales et provoquer des douleurs cervicales importantes.
Cervicalgies communes :
D’origine non spécifique, elles peuvent survenir suite à un mauvais positionnement dans le lit ou au bureau.
Exemple : Le torticolis, souvent causé par un mouvement brusque ou une mauvaise position durant le sommeil, peut également résulter de stress ou d’anxiété.
Cervicalgies traumatiques :
Émergent après un choc, une chute ou un accident.
Exemple : Le « coup du lapin » lors d’un accident de voiture, qui provoque une hyper-extension du cou et des douleurs persistantes.
Cervicalgies symptomatiques :
Révèlent une pathologie sous-jacente, comme des causes infectieuses (spondylite), tumorales ou inflammatoires (spondylarthrite ankylosante).
Les symptômes incluent :
Douleur : Localisée à la face postérieure du cou.
Raideur : Sensation de rigidité au niveau de la nuque.
Irradiation : Fourmillements dans le bras jusqu’aux doigts.
Engourdissement : Pertes de sensibilité ou faiblesse musculaire.
Pratiqués régulièrement, ces exercices peuvent aider à conserver une bonne mobilité du cou et à prévenir les cervicalgies. En cas de douleurs ou de raideurs, ils peuvent également contribuer à retrouver une amplitude de mouvement :
Étirement latéral : Inclinez la tête d’un côté vers l’épaule pour étirer les muscles du cou.
Flexion avant : Penchez la tête en avant pour étirer l’arrière du cou.
Rotation du cou : Tournez doucement la tête de gauche à droite pour améliorer la mobilité.
L’ostéopathie peut jouer un rôle clé dans le traitement des cervicalgies. Voici comment :
Évaluation globale : L’ostéopathe examine la posture et les mouvements pour identifier les tensions et déséquilibres.
Techniques manuelles : Par des manipulations douces, l’ostéopathe aide à relâcher les tensions musculaires et à améliorer la circulation.
Conseils personnalisés : L’ostéopathe propose des recommandations sur la posture et des exercices spécifiques pour prévenir les douleurs.
Accompagnement dans la gestion du stress : Techniques de relaxation et exercices de respiration peuvent être intégrés pour réduire les tensions liées au stress.